#chiffrement
Les ordinateurs quantiques posent une menace sur le chiffrement de nos communications. Signal s'intéresse donc bien sûr aussi aux algos post-quantiques choisis par le NIST.
Ils sont déjà intégrés au protocole de Signal, combiné à l'ancien algo (ECC).
Casser le chiffrement d'un message Signal exige donc de casser *simultanément* ECC et les algos post-quantiques. Bien vu.
sebsauvage.net/links/?1IxNPQ
Les ordinateurs quantiques posent une menace sur le chiffrement de nos communications. Signal s'intéresse donc bien sûr aussi aux algos post-quantiques choisis par le NIST.
Ils sont déjà intégrés au protocole de Signal, combiné à l'ancien algo (ECC).
Casser le chiffrement d'un message Signal exige donc de casser *simultanément* ECC et les algos post-quantiques. Bien vu.
sebsauvage.net/links/?1IxNPQ
This entry was edited (3 months ago)
Saga-Cité
in reply to sebsauvage • • •Très intéressant à savoir.
Même si la menace n'est pas encore activement là.
Benjamin E.
in reply to sebsauvage • • •sebsauvage
in reply to Benjamin E. • • •@benjamin_e
Accès à ce à quoi la fondation Signal a elle-même accès.
Mais comme l'application est conçue de manière à ce qu'ils ne puissent pas lire le contenu, ils peuvent collaborer sans que ça nous porte trop atteinte.
Exemple : sebsauvage.net/links/?YrFTJw
sebsauvage
in reply to sebsauvage • • •Le mieux pour éviter d'avoir à donner des donnés aux autorités, c'est de ne pas les collecter ou de ne pas y avoir accès.
Benjamin E.
in reply to sebsauvage • • •anorax
in reply to sebsauvage • • •sebsauvage
in reply to anorax • • •L'idée c'est de contrer les attaques du genre "collecter les données maintenant dans l'espoir qu'on saura les déchiffrer plus tard".
(Et on sait que la NSA, par exemple, joue beaucoup à ce jeu là)