"Si nous sommes si peu pour l’instant et que nous dérangeons autant, eh bien c’est que nous sommes au bon endroit. J’ai autant le droit de vivre que tous ces ultrariches, et on n’a pas à m’imposer la maladie pour la seule souveraineté alimentaire. C’est un mauvais calcul, et c’est mal nous connaître que de croire que nous allons nous laisser faire."
Voilà ce que m'a dit, entre autres, Fleur Breteau pour @mediapart . Nouvelle figure de la lutte contre les #pesticides, cette femme atteinte d'un #cancer a fait irruption le 8 juillet à l'Assemblée, à l'issue du vote de la loi "Duplomb".
mediapart.fr/journal/france/18…
Fleur Breteau, nouveau visage du combat contre les pesticides : « J’incarne les conséquences d’un système qui part en vrille »
Arrêter progressivement tous les pesticides, visibiliser l’« épidémie » de cancers : c’est ce que cherche à obtenir, avec de nouveaux modes d’action, le collectif Cancer colère.Amélie Poinssot (Mediapart)
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in reply to Amélie Poinssot • • •@Amélie Poinssot @Mediapart
On lui impose la maladie, MAIS PAS pour la "souveraineté alimentaire" !
L'agriculture biologique produit autant sinon plus que l'agro-industrie. (2012)
... show moreC'est à l'image des
@Amélie Poinssot @Mediapart
On lui impose la maladie, MAIS PAS pour la "souveraineté alimentaire" !
L'agriculture biologique produit autant sinon plus que l'agro-industrie. (2012)
C'est à l'image des megabassines, pas plus pas moins, l'enjeu n'est même pas l'eau (pour eux), mais produire à un endroit bien particulier pour spéculer sur la faim, sur le cours du prix des céréales, en stockant le maïs pour le vendre au moment où son prix est au plus haut.
Ces gens n'ont SURTOUT pas la #souveraineté #alimentaire comme moteur !
#Agroécologie #Pesticides #Agriculture #Spéculation