Hezbollah fighters continue to batter Israeli forces near the Lebanese border, ahead of an imminent ground invasion which the Israeli army and media outlets falsely claim has already begun.
Hezbollah said in a statement early on 2 October that it thwarted an attempt by Israeli soldiers to penetrate Lebanese territory.
According to Hebrew telegram channels, at least 20 Israeli soldiers were wounded and two confirmed killed.
thecradle.co/articles/israels-âŠ
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The Palestinian Centre for Development and Media Freedoms (MADA) recorded 148 violations against the Palestinian media in September, including seven Palestinian violations and one violation by social media sites.
This was an increase of 41% over the number of violations in August.
MADA explained that the increase last month was due mainly to the fierce attack launched by the occupation forces against Palestinians in the occupied West Bank.
middleeastmonitor.com/20241002âŠ
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Hezbollah announced Wednesday that it targeted Israeli army soldiers, sites and artillery bunkers in four areas in northern Israel.
The group said it targeted a gathering of Israeli soldiers in the settlement of Shtula and artillery bunkers in the south of the Kiryat Shmona settlement with rockets.
Separately, Hezbollah said it attacked an infantry force in the settlement of Misgav Am with rockets and artillery.
aa.com.tr/en/middle-east/hezboâŠ
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Budget 2025 : mission impossible dans un systÚme acculé par ses contradictions
Les longs jours de tractation pour rĂ©ussir Ă faire naĂźtre le nouveau gouvernement conduit par Michel Barnier ont Ă©tĂ© aussi lâoccasion de la mise en scĂšne dâune dramaturgie dĂ©sormais europĂ©enne, celle des dĂ©ficits et de la dette. Avant nous Ă lâautomne 2009, les Grecs avaient dĂ©jĂ ouvert la porte sur lâenfer en annonçant des dĂ©ficits et une dette plus Ă©levĂ©e que prĂ©vu. En 2011, en Italie, la dette du pays est entrĂ©e dans un tourbillon spĂ©culatif qui a contraint Ă la dĂ©mission du gouvernement Berlusconi, remplacĂ© par lâancien Commissaire europĂ©en Mario Monti. Ce dernier nâavait alors pas hĂ©sitĂ© Ă infliger une violente cure dâaustĂ©ritĂ© Ă son pays.
Le dĂ©rapage des comptes publics a largement dĂ©passĂ© la sphĂšre trĂšs technique des finances publiques pour entrer dans le domaine politique. AprĂšs tout, cela se comprend, puisque la dĂ©finition et le vote du budget par un Parlement constituent le sel de la dĂ©mocratie parlementaire. Nâoublions pas que la politique est un systĂšme dâĂ©quitĂ©, câest-Ă -dire une rĂ©partition plus ou moins Ă©quitable du partage des ressources et des charges selon les catĂ©gories de la population. Or, lâinvocation de la dette, des dĂ©ficits et de leurs pĂ©rils supposĂ©s permet de rĂ©duire les ardeurs dĂ©pensiĂšres de certains ministĂšres et surtout, elle sert Ă maintenir un ordre Ă©conomique bien souvent profitable au plus petit nombre, surtout en matiĂšre fiscale.
Lâhistoire Ă©conomique rĂ©cente montre combien le storytelling de la dette et des dĂ©ficits est au service dâun conservatisme Ă©conomique qui tente de rendre lĂ©gitime la coupe dans les dĂ©penses sociales et de justifier nombre de reniements politiques. On le comprend mieux lorsque lâon garde Ă lâesprit que lâessentiel de la dĂ©pense publique est fait de dĂ©penses sociales majoritairement liĂ©es Ă la retraite et Ă la maladie. Les dĂ©penses sociales sont bien souvent les revenus de ceux qui nâont rien.
Ainsi Ă lâautomne 1995, revenant dâun voyage en Allemagne et dâune discussion avec le chancelier Kohl, Jacques Chirac annonçait Ă Alain Duhamel que la lutte contre les dĂ©ficits devait lâemporter sur la prĂ©occupation de la fracture sociale. En 2006, le rapport PĂ©bereau (du nom de lâancien prĂ©sident de la BNP) se voulait ĂȘtre un coup de semonce pour rappeler comment la dette publique sâĂ©tait construite en France et les moyens de la rĂ©duire. Sans compter lâantienne couramment rĂ©pĂ©tĂ©e que « voilĂ 50 ans que la France nâa pas prĂ©sentĂ© un budget en Ă©quilibre », sans que lâon sache lâintĂ©rĂȘt ou la pertinence dâune telle performance. On peut aussi rappeler le couplet sur les « dettes laissĂ©es aux gĂ©nĂ©rations futures », dont lâavenir se noircirait et accablĂ©es par le fardeau de lâendettement.
Lâassomption de lâobsession budgĂ©taire depuis la naissance du traitĂ© de Maastricht a créé un nouveau fĂ©tiche : le fameux « 3/60 » cher aux fonctionnaires europĂ©ens, Ă savoir la rĂšgle des 3 % de dĂ©ficit et des 60 % de dette publique rapportĂ©e au PIB â omettant au passage dâindiquer lâaberration statistique que cet indicateur reprĂ©sente. En effet, lorsque les Ă©tudiants dĂ©couvrent lâĂ©conomie, il leur est appris que comparer un flux et un stock est incorrect. Or, le PIB est un flux de revenus et la dette un stock. Dire que la dette reprĂ©sente telle part du PIB est un peu idiot, car cela laisse entendre par exemple quâil faudrait rembourser en une annĂ©e une dette publique accumulĂ©e depuis des annĂ©es. La dette publique nâest autre que la mĂ©moire des dĂ©ficits cumulĂ©s.
VoilĂ trente ans que nous sommes dĂ©sormais gouvernĂ©s par des objectifs intermĂ©diaires : la maĂźtrise des comptes publics et de la dette. Or, une politique budgĂ©taire est articulĂ©e autour dâinstruments, comme le budget et la fiscalitĂ©, au service dâobjectifs intermĂ©diaires, comme lâĂ©quilibre des comptes publics, et surtout dâobjectifs finaux comme la croissance et lâemploi pour nâen citer que deux. Mais les objectifs intermĂ©diaires lâont finalement emportĂ© sur les objectifs finaux. VoilĂ encore un effet des choix europĂ©ens qui ont Ă©tĂ© retenus par lâensemble des diffĂ©rents gouvernements depuis le dĂ©but des annĂ©es 1990. Câest une « gouvernance par les nombres », pour reprendre les termes du juriste Alain Supiot.
Au regard de lâhistoire de la pensĂ©e Ă©conomique, nous assistons dans ce domaine au retour dâarchaĂŻsmes qui nous renvoient Ă la pensĂ©e budgĂ©taire dâavant 1945. Ă cette pĂ©riode, le budget de lâĂtat Ă©tait assimilĂ© Ă une famille : lâĂtat ne devait pas dĂ©penser plus quâil ne gagnait. Ce type dâobsession a conduit Ă de nombreuses politiques dĂ©flationnistes qui ont amplifiĂ© la crise des annĂ©es 1930.
Avant mĂȘme de discuter de lâactualitĂ© dâun budget qui concentre nombre de pĂ©rils, il faut bien garder en tĂȘte combien faire du budget un terrible Ă©pouvantail politique est utile pour rendre toute alternative impossible. Le Nouveau Front Populaire faisait face au feu roulant des critiques de ceux qui estimaient quâil ne pouvait y avoir quâune voix budgĂ©taire possible, celle plus ou moins dĂ©guisĂ©e dâune austĂ©ritĂ©. Modifier la fiscalitĂ©, revenir des avantages fiscaux donnĂ©s aux plus aisĂ©s, revaloriser le SMIC ou encore le salaire des fonctionnaires, tout cela devenait comme autant de dĂ©viances de lâorthodoxie budgĂ©taire proclamĂ©e, mais jamais atteinte.
Cette petite musique budgĂ©taire pouvait paraĂźtre encore plus crĂ©dible et audible par le grand nombre par lâinvocation de nos engagements europĂ©ens. Il en allait de la crĂ©dibilitĂ© du pays, de sa note â puisque dĂ©sormais ce sont les marchĂ©s financiers qui nous financent. La question de la dette et du dĂ©ficit prend toute sa force lorsque nous savons que nous ne disposons plus de lâarme monĂ©taire et que le financement des besoins de la nation est rĂ©alisĂ© par des acteurs Ă©trangers, exposant la nation Ă une vulnĂ©rabilitĂ© considĂ©rable. Câest donc cet ensemble de considĂ©rations qui doivent Ă©clairer tout dĂ©bat budgĂ©taire pour saisir lâampleur des contraintes et surtout du discours alarmiste qui entoure cette question. Plus que jamais, lâĂ©conomie est un rapport de forces.
Un budget impossible à réaliser
Avant mĂȘme dâaborder les masses Ă lâĆuvre et la tendance austĂ©ritaire qui se prĂ©pare, il faut dire encore un mot de politique puisque le gouvernement de Monsieur Barnier devra faire des arbitrages sous la surveillance du Rassemblement national, qui peut dĂ©cider souverainement de sa survie ou de sa perte. Les risques de dĂ©rapage politique peuvent se prĂ©senter assez vite.
Plus encore, le nombre dâimpĂ©ratifs qui attend la nation rend le budget particuliĂšrement pĂ©rilleux, puisquâil sâagit de faire tenir ensemble la poursuite de lâassainissement budgĂ©taire, la prĂ©servation dâun Ătat social garant Ă sa maniĂšre de la paix sociale et d'assurer des investissements dâavenir qui vont aussi bien des dĂ©penses en matiĂšre Ă©ducative, que militaire ou Ă©cologique. Cette plĂ©thore dâobjectifs trouve difficilement un relais au niveau europĂ©en, puisque le plan de relance engagĂ© lors de la phase du Covid nâaura pas de suite dans la nouvelle mandature d'Ursula Von der Leyen. DĂ©sormais, c'est la question du remboursement de ce plan qui se pose aux Ătats membres.
Si la loi de finances de 2023 pouvait apparaĂźtre en hausse de 65 milliards par rapport Ă 2022, cette augmentation a Ă©tĂ© largement absorbĂ©e par celle des prix. Une fois lâeffet prix retirĂ©, câest le contraire dâune augmentation qui sâobserve : les dĂ©penses publiques vont stagner â soit une progression de +0,1 point entre 2022 et 2023. Si lâon observe plus largement les choses, on remarque que seul le budget prĂ©-gilets jaunes prĂ©sentait une progression aussi faible. Si 2024 prĂ©sentait ce visage, lâinquiĂ©tude ne peut quâĂȘtre lĂ©gitime pour 2025. Dâautant que lâUnion europĂ©enne a engagĂ© une procĂ©dure pour dĂ©ficits excessifs Ă lâĂ©gard de la France.
Dans la prĂ©cĂ©dente loi de finances, le gouvernement indiquait « sur la pĂ©riode 2022-2027, une croissance moyenne de la dĂ©pense publique de +0,6 % », ce qui constitue un effort significatif en comparaison des Ă©volutions lors des prĂ©cĂ©dents quinquennats. Cette maĂźtrise de la dĂ©pense sera portĂ©e par lâensemble des administrations publiques. Dans lâexercice budgĂ©taire prĂ©cĂ©dent, le gouvernement sortant prĂ©voyait une diminution des recettes publiques de 45,2 % Ă 44,7 %.
Comme le levier de rĂ©duction des dĂ©penses semble ĂȘtre largement privilĂ©giĂ©, la pression sur les services publics ne pourra ĂȘtre que considĂ©rable aussi bien sur la qualitĂ© future de ces derniers, que sur la situation de leurs agents.
Et lâaustĂ©ritĂ© dĂ©jĂ lĂ est renforcĂ©e par les mesures dâĂ©conomies additionnelles de 10 milliards d'euros dans nombre de secteurs. Ainsi, la baisse de 1 % pour l'hĂ©bergement, le parcours vers le logement et l'insertion des personnes vulnĂ©rables se traduit par la fermeture de 20â000 places. De mĂȘme, on observe une baisse de 23,8 % sur les crĂ©dits allouĂ©s Ă la stratĂ©gie interministĂ©rielle de prĂ©vention et de lutte contre la pauvretĂ© des enfants et des jeunes. Tout un programme...
Le maintien de la politique de lâoffre envers et contre tout, sous surveillance europĂ©enne
Le budget Ă venir doit ĂȘtre bouclĂ© dans des conditions particuliĂšres, tant le nouveau gouvernement a tardĂ© Ă ĂȘtre constituĂ© aprĂšs la nomination plus que polĂ©mique de Michel Barnier en tant que Premier ministre. En effet, le temps manque. Mais dans la mesure oĂč le Premier ministre semble compatible avec les orientations Ă©conomiques du prĂ©sident de la RĂ©publique, la question de la rupture de politique Ă©conomique nâest plus Ă lâordre du jour. Le budget Ă venir doit rassurer les marchĂ©s financiers et la Commission europĂ©enne.
Câest un effort budgĂ©taire majeur qui va ĂȘtre attendu alors que le chĂŽmage remonte, et que la politique monĂ©taire fait ressentir ses effets sur la croissance. La baisse des taux dâintĂ©rĂȘt nâest pas encore perceptible dans lâactivitĂ©. On peut largement se douter que le choix retenu pour entrer dans les clous europĂ©ens et ramener les dĂ©ficits dans les pĂ©rimĂštres de Maastricht sera celui dâune austĂ©ritĂ© dont lâampleur reste Ă dĂ©terminer.
Si les rĂšgles europĂ©ennes sont respectĂ©es, 30 milliards dâĂ©conomies devront ĂȘtre engagĂ©es en 2025 et 100 milliards en 2028. Le Conseil dâanalyse Ă©conomique, dans un rapport de juillet 2024, invite Ă l'objectif dâun excĂ©dent primaire de 1 %, câest-Ă -dire un excĂ©dent hors intĂ©rĂȘt Ă payer. Mais cette trajectoire ne sera pas simple Ă tenir et la casse sociale risque dâĂȘtre Ă©levĂ©e. Il appartiendra Ă lâĂtat social de remplir son rĂŽle de voiture-balai, pour amortir les effets de la rigueur. Ce terme doit ĂȘtre pris avec prĂ©caution; il sâagira de voir quels sont les ministĂšres et les types de dĂ©pense qui connaĂźtront un rabot.
Plus que jamais, nos sociĂ©tĂ©s sont confrontĂ©es Ă ce trilemme impossible : respecter les Ă©quilibres budgĂ©taires, assurer la pĂ©rennitĂ© de lâĂtat social et engager les dĂ©penses dâavenir. Au moment oĂč la rĂ©industrialisation du pays nâest pas au rendez-vous, oĂč le chĂŽmage repart lentement Ă la hausse, oĂč la productivitĂ© se tasse et oĂč la dĂ©mographie devient atone, ajouter une austĂ©ritĂ© budgĂ©taire semble imprudent pour ne pas dire irresponsable...

#linux #opensource #tecmint
Timeâs almost up.
@everythingopen
Just over 3 hrs til the call for sessions closes.
#EverythingOpen
#Linux
#OpenSource
#OpenData
#OpenGLAM
#OpenAccess
#OpenGovernment
Thunderbird fĂŒr Android ist als Beta-Version (8.0b1) verfĂŒgbar. Ich habe mir die Beta-Version mal kurz angeschaut â und wurde direkt enttĂ€uscht. Unmittelbar nach dem Start ĂŒbermittelt Thunderbird fĂŒr Android Telemetriedaten an Mozilla â incoming.telemetry.mozilla.org. đ
kuketz-blog.de/thunderbird-fueâŠ
#thunderbird #mozilla #telemetrie #datenschutz #telemetry #dsgvo #tdddg #mail #email #android #privacy #tracking
The telemetry data is transmitted directly at startup. Will this be switched off in the final version?
@taschenorakel
My gut feeling is that anything, which is collected from my side, whether PII or not, protected or not, should only take place after I get a message on first run, asking me if it's okay to collect usage data. Including a brief list of what data is collected, whether it's anonimized, pseudomized, etc and allow me to say "no".
Anything collected before I have any chance of opt-in or opt-out to me sounds like "we proactively have already started collecting data. If you don't want this to go on, you can switch it off in settings" and leaves a smell of privacy pooh on my desktop.
In other words: It's a dishonest behaviour to me if I am NOT aware of things going on before things start to happen.
@schroedingershund I absolutely dislike the concept of blaming entities by gut feeling even if they behave entirely legal.
They key for reliable privacy laws is general acceptance. It's of absolutely no value to have strict laws if nobody obeys them.
The GDPR and the ammending TDDDG do pretty well in balancing interests, and we don't do privacy activism or IT security a favor if we deny operators legitimate interest out of gut feeling.
@schroedingershund Laws have a scope and the scope of TDDDG is defined in its first section. You don't do anyone a favour if you randomly extend the scope of laws just to support your point of view.
You don't help these you want to protect by making false promises.
You won't get the Thunderbird people to change what's in there legitimate interested and perfectly legal.
You simply don't make the world a better place by inventing false accussions. It's just another step down.
Actually I did. Did you?
"Dieses Gesetz regelt [...] besondere Vorschriften zum Schutz personenbezogener Daten bei der Nutzung von Telekommunikationsdiensten und digitalen Diensten [...] den Schutz der PrivatsphÀre [...] den Schutz der PrivatsphÀre"
Privacy and personal data. That's the scope.
Data that's not personal data is out of scope.
Even more if other laws like GDPR __explicitly__ allow processing of such data.
Do you also have arguments? Or is your highly toxic behavior an admission of your error?
Please remain objective!
The TTDSG (Telecommunications Telemedia Data Protection Act) not only covers personal data, but also generally regulates the storage of and access to information on end devices. This is independent of whether the data is personal or not. § Section 25 TTDSG is decisive here, as it makes any storage and reading of information subject to consent, unless the data processing is âtechnically necessaryâ.
The term âinformationâ in this context is deliberately broad and also includes anonymised or pseudonymised data. This is intended to protect the privacy of users privacy is to be comprehensively protected, even if other laws such as the GDPR explicitly provide for exceptions for certain types of data.
The TTDSG therefore applies as soon as technical storage takes place on the end device - regardless of whether the data concerned is categorised as personal or not.
Seit Mozilla vor einiger Zeit geĂ€uĂert hat enger mit Meta zusammenarbeiten zu wollen sind der Vogel, der Fuchs und weitere Tierarten dieser âFoundationâ gestorben.
Gibt ja Alternativen.
@davidculley Nein, aber sie haben reagiert: github.com/thunderbird/thunderâŠ
"Temporarily removed telemetry while we improve user choice"
Next #LunchTimeTalk đ„đ„How can successful #ITSM be implemented in the #company with the #BlueSpice #wiki? We'll show you. Register now!
bluespice.com/itsm-in-the-wikiâŠ
âȘ Schönheit am Wegesrand â«
(Bildbeschreibung: Die goldgelben BlĂŒten einer Topinambur vor grĂŒnem Hintergrund.)
#photography #fotografie #foto #photo #postprocessed #myphoto #mywork #ownwork #nature #natur #umwelt
like this
đđźđœđźđ».đŁ.đ. đŠđȘđŸđ«đźđ· â, nadloriot, Gerda de Vos, Playground, Lillyliberty, Tiersy, Tony, fl @fleur and 7B'JaJaDa like this.
Mon Dieu Cthulhu!: Shadow of the Serpent
legacy.drivethrurpg.com/product/489699/Mon-Dieu-Cthulhu-Shadow-of-the-Serpent
Publisher: ModiphiusShadow of the Serpent Swashbuckling Supernatural Adventure! As the year 1810 wanes, dashing hussar Lieutenant Gaston Dubois finds himself at a crossroads. Following a duel over a crime passionnel, he is banished from his beloved 13thâŠ
No Fedora?
I thought it was popular.
I tried Manjaro a few times and it made my PC unusable every time. All sorts of little issues and even though I disabled any sleep features my screens would not wake up after I had been away for about an hour. Nothing else responded either like my PC had frozen.
Nobara is my distro of choice these days.
Radicalisation des Ătats-Unis contre le Venezuela ?
SaĂŻd BOUAMAMA
Tandis que le Venezuela du prĂ©sident Maduro - réélu depuis 2013 - semble sortir de lâorniĂšre sur le plan Ă©conomique, les agressions Ă©tasuniennes au faux-nez dĂ©mocratique se multiplient contre lâEtat pĂ©trolier. A tel point que les autoritĂ©s vĂ©nĂ©zuĂ©liennes ont rĂ©cemment dĂ©noncĂ© une nouvelle tentative de coup dâEtat invariablement financĂ©e et pilotĂ©e par les Etats-Unis.
Si la guerre dâUkraine et le gĂ©nocide en Palestine sont les deux points brĂ»lants de la situation mondiale, le conflit qui caractĂ©rise notre planĂšte est dâampleur mondiale. La crainte des puissances occidentales de perdre leur hĂ©gĂ©monie mondiale et avec elle les surprofits qui lâaccompagne, les pousse Ă multiplier leurs ingĂ©rences et agressions sur tous les points stratĂ©giques de la planĂšte.
Le Venezuela est depuis longtemps dans le viseur de Washington en raison de sa situation gĂ©ographique, de ses prises de position tant au niveau de la politique Ă©conomique interne quâau niveau international et enfin de ses alliances stratĂ©giques avec les BRICS, la Chine, la Russie, lâIran, Cuba, etc.
Le dernier Ă©pisode des agressions contre le Venezuela a Ă©tĂ© rĂ©vĂ©lĂ© par lâannonce, le 14 septembre, de lâarrestation de sept ressortissants Ă©trangers, quatre Ă©tasuniens, deux espagnols et un TchĂšque, accusĂ©s de prĂ©parer un coup dâEtat en faveur de la cheffe de lâopposition Maria Corina Machado et la saisie de 400 fusils de marque Ă©tasunienne.
Actes terroristes
Le ministre de lâIntĂ©rieur Diosdado Cabello explique comme suit ces arrestations : « Les services de renseignement espagnol et Ă©tasunien ont contactĂ© des mercenaires dâEurope de lâEst et ils sont en train de mener une opĂ©ration pour tenter dâattaquer notre pays. Les 400 fusils saisis Ă©taient destinĂ©s Ă des actes terroristes ici, au Venezuela, un terrorisme encouragĂ© par des secteurs politiques. Nous savons mĂȘme que le gouvernement des EU est liĂ© Ă cette opĂ©ration ».
En attendant une documentation de ces faits permettant de se faire une opinion dĂ©finitive, force est de rappeler quâils ne sont pas improbables compte-tenu Ă la fois de lâutilisation frĂ©quente de ce type de moyens par Washington sur lâensemble de la planĂšte ; en particulier en AmĂ©rique Latine, dâune part, et de lâenjeu que constitue le contrĂŽle du Venezuela pour le contrĂŽle de la rĂ©gion, dâautre part.
De la tentative dâinvasion de la baie des Cochons Ă Cuba en avril 1961 au coup dâEtat contre Salvador Allende en septembre 1973 en passant par le coup de force contre Evo Morales en 2019 et par une multitude dâautres exemples.
Surtout une telle tentative est cohĂ©rente avec la stratĂ©gie Ă©tasunienne de pressions sur le Venezuela depuis lâarrivĂ©e au pouvoir de Chavez en 1998 allant des sanctions Ă©conomiques, Ă la tentative de lâisoler continentalement en passant par le soutien Ă la tentative de coup dâEtat en 2002.
Sanctions sur sanctions
Pour ne prendre que lâexemple des sanctions Ă©conomiques, rappelons que les EU et leurs alliĂ©s occidentaux les imposent dĂšs dĂ©cembre 2014 Ă la suite de lâadoption par le CongrĂšs de la « loi publique de dĂ©fense des droits de lâhomme et de la sociĂ©tĂ© civile vĂ©nĂ©zuĂ©lienne ».
Depuis lors les sanctions Ă©conomiques nâont fait que se renforcer.
Ainsi par exemple, en 2017, les Etats-Unis et lâUnion EuropĂ©enne dĂ©crĂšte un embargo sur les importations dâarmes, de matĂ©riels Ă©lectroniques et des mesures interdisant lâaccĂšs aux marchĂ©s financiers internationaux, ce qui conduit rapidement les principales agences de notations internationales Ă dĂ©clarer le pays en dĂ©faut partiel de paiement.
En 2019, des sanctions sont dĂ©cidĂ©es contre la sociĂ©tĂ© publique de pĂ©trole et de gaz, la PDVSA, lâempĂȘchant dâĂȘtre payĂ©e pour ses exportations de pĂ©trole aux Etats-Unis et gelant 7 milliards dâactifs sur le territoire Ă©tasunien. ArrĂȘtons ici lâĂ©numĂ©ration de la longue liste de sanction visant Ă asphyxier Ă©conomiquement le pays et Ă susciter des rĂ©voltes de la misĂšre contre le gouvernement.
HypothĂšse dâune radicalisation des EU
Le dernier Ă©pisode dâingĂ©rence Ă©tasunienne au Venezuela est lâimposition dâune sĂ©rie de sanctions supplĂ©mentaires Ă la suite de lâinvalidation de la candidature prĂ©sidentielle de 2024 de lâultralibĂ©rale Maria Corina Machado soutenue par Washington et qui avait approuvĂ© les sanctions occidentales qui plongeaient son peuple et son pays dans dâĂ©normes difficultĂ©s Ă©conomiques et dans la pĂ©nurie.
La victoire de Nicolas Maduro lors de ces prĂ©sidentielles a bien entendu Ă©tĂ© contestĂ©e, non seulement par lâopposition vĂ©nĂ©zuĂ©lienne, mais Ă©galement par Washington et lâUnion EuropĂ©enne. Cette derniĂšre votait mĂȘme le 19 septembre dernier une rĂ©solution reconnaissant le candidat de lâopposition, Edmundo Gonzales Urrutia comme vainqueur.
Lâargument de dĂ©fense de la dĂ©mocratie, de riposte Ă la violation des droits humains, de rĂ©action Ă la violation de la transparence dâun scrutin Ă©lectoral, est dĂ©sormais devenus un classique pour mettre en difficultĂ© et pour Ă©liminer les chefs dâEtat et les organisations politiques refusant de faire allĂ©geance aux Etats-Unis. Ces ingĂ©rences politiques et ces pressions Ă©conomiques ayant Ă©tĂ© insuffisantes au Venezuela, il nâest pas dĂ©nuĂ© de tous sens de penser que les stratĂšges Ă©tasuniens envisagent de revenir Ă des moyens plus directs et plus militaires.
Si, depuis longtemps, les puissances impĂ©rialistes utilisent le « soft power » ou la stratĂ©gie dâinfluence pour parvenir Ă leur fin, elles nâhĂ©sitent pas Ă revenir au « hard power » ou puissance dure lorsque leurs intĂ©rĂȘts sont en jeu. Les rĂ©sultats Ă©conomiques du Venezuela indiquent, en effet, un Ă©chec complet du « soft power », de la pression Ă©conomique et de la stratĂ©gie dâisolement du pays. La publication des chiffres du Programme des Nations Unies pour le dĂ©veloppement, le PNUD, annonce ainsi une prĂ©vision de croissance de 4.2 % pour 2024. A titre comparatif, la Banque de France annonçait, Ă la mĂȘme date, une croissance autour de 1 % pour la France.
Le document du PNUD porte un titre Ă©loquent : « Performances macro-Ă©conomiques du Venezuela au premier trimestre 2024 et perspectives pour lâannĂ©e ». Le mĂȘme rapport, publiĂ© en juin 2024, annonçait « une inflation considĂ©rablement ralentie..., une hausse de la consommation privĂ©e de 2.5% et une hausse de la formation de capital fixe de 14.9 % ».
Ces chiffres sont avĂ©rĂ©s car les calculs du PNUD sont basĂ©s sur la compilation et le croisement des donnĂ©es Ă©conomiques fournies par les statistiques officielles vĂ©nĂ©zuĂ©liennes et celles du Fond MonĂ©taire International, de lâOPEP, des cabinets spĂ©cialisĂ©s et des agences de notation internationales. Ils indiquent nettement que le Venezuela est sorti de la spirale Ă©conomique rĂ©gressive quâavaient enclenchĂ© les sanctions Ă©conomiques depuis 2017. Les choix Ă©conomiques et politiques du Venezuela, lâont rendu moins dĂ©pendant des Ă©conomies occidentales et lui permettent dâenvisager plus sereinement son avenir.
Cette dĂ©pendance moindre Ă lâĂ©gard de Washington et de lâUnion EuropĂ©enne nâest, bien entendu pas du goĂ»t de ces derniers et pourrait les inciter Ă des modes dâinterventionnisme plus classique en termes de soutien Ă des rebellions armĂ©es et Ă des coups dâEtat dâune part, en termes dâintervention militaire directe dâautre part et en termes dâarticulation des deux pour une troisiĂšme part, toujours bien sĂ»r pour « dĂ©fendre la dĂ©mocratie ».
SaĂŻd Bouamama
Pour aller plus loin :
« Desempeño Macroeconómico de Venezuela Primer Trimestre 2024 y Perspectivas del Año », PNUD, juin 2024.
« Le Venezuela accuse les Etats-Unis de complot contre le prĂ©sident Maduro, Washington rejette des allĂ©gations âcatĂ©goriquement faussesâ », Le Monde, 15 septembre 2024.
»» investigaction.net/radicalisatâŠ
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in reply to Martin Bishop • • •