USA's taxes pay Israel government genocide
Lara Elborno on USA's government support of Israel's government
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Maps Show Passenger Trains in US vs. Europe?
The maps purported to show a major difference in density between the two systems.
Biden Finished 76th Academically in a Class of 85 at Syracuse University College of Law in 1968?
"The Democrats literally pick from the bottom of the barrel," a user on X (formerly Twitter) claimed.
#NoWarButClassWar #Gaza under attack #SecondNakba
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Michelle Obama Once Called Harvey Weinstein 'Wonderful Human Being,' 'Good Friend' and 'Powerhouse'?
"Harvey Weinstein is a 'wonderful human being and a good friend, and just a powerhouse' — Michelle Obama," a post on X said.
Did IDF Lure and Shoot Palestinians Using Drones Playing Recordings of Crying Infants?
The incendiary claim sounds like propaganda, but it is not as far-fetched as some suggest.
Pizza Butt And Taco Hell reshared this.
TikToker Threatened by Disney World Cast Member After Refusing To Stop Filming Broken Ride?
"And to the man filming in the black jacket, please find a cast member at the end of the performance," a post quoted a cast member supposedly saying.
Did Biden Say of the Bible, 'I Almost Wanted to Buy One Just to See What the Hell's in It'?
In the run-up to U.S. elections, quotes from political candidates are sometimes not presented in the most journalistically responsible manner.
Snipers Spotted on Roofs at Ohio State University and Indiana University During Gaza Protests?
Two jarring photographs circulated widely on social media during pro-Palestine demonstrations on U.S. college campuses in late April 2024.
Spaniards Don't Eat Dinner Until Midnight?
The dinner schedule in Spain often befuddles visitors from other countries.
Construisons les #Contrepouvoirs anticapitalistes !
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Flatpaks are really outrageous in size...I have tried to use flatpaks for the past months but man o man....hundreds of MB for each package, takes forever to update them even on my 1GB internet connection. The idea is great, but this is such a huge downside that I cannot see how it is going to make the flatpaks easier to use than normal packaging.
Look at this for ungoogled chromium:
Had to download around 4-5 GB....insane!
@hydrian That's a neat theory, but in practice Murphy's law applies and every version of a given library eventually gets pulled in.
Talking with the Flatpak faithful feels similar to talking with crypto bros.
crypto -> "We have a complete record of transactions that will solve all monetary problems!"
flatpak -> "We have a complete graph of dependencies that will solve all software deployment problems!"
Here's a thread with some more numbers of how bad this is:
mastodon.social/@eugenialoli/1…
I don't understand what is the point of releasing an IDE via #flatpak, when that flatpak doesn't include all the necessary dev tools, and it can't access the ones outside its sandboxing. Honestly. What's the point? I'm looking at you, #Geany.Personally, I can't stand flatpaks or #snap. #Appimage is nicer just because it's just one delete away from within the file manager and doesn't leave crumbs everywhere. But overall, I prefer #apt, and #dnf.
FYI each Flatpak app is like a Git repo and an update just downloads the files that actually changed. The files of all installed apps are stored together in a content-addressable storage, then hardlinked one or more times to form each app.
OSTree-based host OSs like Fedora Atomic work in the same way and hopefully in the future the files will be shared between the host OS and Flatpak apps too.
When you install a Flatpak, it will need runtimes (GNOME, KDE, Freedesktop...). These are the ones that really take up disk space. But the good news is that it looks big if you install just one Flatpak application, but the more you install, the more they'll use the same runtimes already installed, and the less disk space they'll occupy.
And no, ungoogled-chromium doesn't require 4-5 GB, just 153 MB...
And no, ungoogled-chromium doesn't require 4-5 GB, just 153 MB...
How come on my system it had to download 4-5GB? And yes I use many flatpaks but that didn't seem to help. And this is not the first time am seeing these massive downloads.
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"takes forever to update them even on my 1GB internet connection"? huh?... you're on gigabit internet and it's taking forever? honestly that's not possible... Are you sure you have gigabit internet? or do you mean that your lan port is a gigabit port?..
I use flatpaks and it's really not that big of a deal (plus it happens in the background anyone, so most people will pretty never notice it)
Is This What 1 Million Dead Mosquitoes Looks Like?
The mound of insects was said to have been “caught in a trap in Sanibel, Florida.”
unioncommunistelibertaire.org/…
Il y a 130 ans : la Commune anarchiste de Montreuil
De 1892 jusqu’aux grandes arrestations d’anarchistes de 1894, il existe à Montreuil-sous-Bois (Seine) une petite « Commune anarchiste », fondée sur les principes érigés par les grands théoriciens du mouvement libertaire, Pierre Kropotkine et Élisée Reclus. Méconnue, on n’en trouve trace que dans de rares écrits de l’époque, qui l’évoquent comme une tentative exemplaire de communisme-anarchiste.
Vaux, Aiglemont, Méry-sur-Oise… Des tentatives communautaires anarchistes nous est essentiellement parvenue une riche histoire des milieux libres du tout début du xxe siècle. Autant de tentatives de retour à la nature menées par des anarchistes du courant individualiste pour qui la révolution sociale n’était plus à espérer. À quoi bon transformer la société ? L’important est l’émancipation de soi, pour soi, ici et maintenant. Mais on oublia le premier de ces essais. Car à la fin du xixe siècle, des compagnons aux conceptions bien éloignées de l’individualisme donnent déjà forme, à Montreuil-sous-Bois, à un tout autre projet.
L’ébéniste Méreaux
Aux origines de l’histoire de la Commune anarchiste de Montreuil se trouve celle du militant qui en est le centre de gravité : Émile Méreaux. Ce discret ébéniste de Charonne est peu connu ; on se souvient de lui comme de celui qui a assuré la gérance du Révolté lorsqu’en 1885 le journal genevois est amené à Paris par Jean Grave. Jamais très éloigné du notoire rédacteur anarchiste, Méreaux apparaît à de nombreuses occasions dans les mémoires de ce dernier [1]. « Esprit juste, avisé, intelligence réfléchie plutôt que brillante » [2], c’est un militant de terrain dont le riche parcours passe sous les radars, rien n’étant écrit sous son nom. Pourtant, toute sa vie, il est un infatigable et acharné propagandiste pour la cause, « convaincu jusqu’au fanatisme » [3] des théories libertaires.
Dans les années 1880, il est déjà très actif dans un parti anarchiste alors en plein développement. Comme nombre de ses camarades politiques, il appelle régulièrement à l’agitation au sein des réunions. Cette ardeur se mue en un « révolutionnarisme réfléchi » [4] à la suite des deux années de prison purgées à Poissy pour avoir fait feu sur des agents à la sortie d’un meeting de Louise Michel, boulevard Ménilmontant à Paris. Libéré en 1890, il est devenu plus tempéré mais ses aspirations révolutionnaires n’ont pas cessé pour autant : appliquer les idées des théoriciens du mouvement, développées dans les feuilles éditées par son ami Jean Grave, devient la nouvelle direction donnée à ses efforts.
Vie et mort de la commune
Dès avril 1891, ils sont quelques compagnons de l’est parisien à se réunir chaque semaine chez lui, rue Armand-Carrel à Montreuil. La révolution sociale doit advenir, mais elle n’est pas pour eux l’affaire d’un grand soir ; l’anarchisme est encore jeune, il faut au préalable en installer les idées. Au « courant négatif » de la propagande révolutionnaire, celui de la lutte, doit s’adjoindre un « courant positif », qui doit d’abord « démontrer ce que sera la société future » [5] ; celui qui sera la preuve en actes, « par la production, par l’échange anarchiste, de la supériorité de notre économie sur l’économie politique et bourgeoise actuelle » [6]. Fin 1892, le groupe s’est donné un nom, la « Commune anarchiste » et s’est doté d’un objectif, « la mise en pratique des idées communistes anarchiques » [7].
Le projet est lancé. Les compagnons commencent par s’organiser autour d’un atelier d’ébénisterie, où ils se retrouvent après le travail pour produire des meubles, sans salaire. Libre à chacun d’en prendre un, mais priorité doit être laissée aux besoins les plus pressants ; c’est la prise au tas, sans estimation de valeur – celle défendue par Kropotkine dans La conquête du pain [8], publiée la même année.
L’affaire roule mais il devient nécessaire de s’élargir. Un appel est lancé à ce que d’autres compagnons les rejoignent, se groupant par corporation de métier. Pour que leur œuvre tienne au long cours, les communiers savent que leur sont indispensables les richesses de la terre – « le pain », aurait autrement dit Kropotkine. Prioritaires sont donc les artisans dont le savoir-faire serait utile aux paysans anarchistes des communes environnantes, que l’on irait aider sans frais dès les labours du mois de février 1893. Ce projet n’aboutit pas mais l’appel est entendu : en mars, la commune s’enrichit de la présence de peintres, cordonniers, ménagères, terrassiers, maçons. Les informations manquent pour reconstituer la suite de l’histoire. Seuls d’épars témoignages permettent d’estimer les développements ultérieurs de l’expérience ; l’un provient d’un de ses fondateurs, Lucien Guérineau : « Ce fut surtout un endroit d’exemple de communisme-libertaire et d’entr’aide dans des choses utiles. Au travail chacun y donnait son coup de main dans les soirées après le labeur chez le patron. On y raccommodait mutuellement les chaussures, on s’improvisait cordonnier, menuisier, ébéniste, ferblantier, matelassier, etc. pour confectionner des bancs, des tables, des couvertures de machines à coudre, pour étamer les cuillers, souder des trous aux casseroles, etc. Aucune rétribution n’existait pour le travail, c’était la prise au tas pour les besoins des choses nécessaires à chacun et à la famille. Chaque semaine une conférence avait lieu sur des sujets techniques, scientifiques et sociologiques. »
[9]Selon Guérineau, Reclus leur rend visite, faisant forte impression sur les compagnons. Il est « charmé de l’innovation » [10]. De telle manière que près de deux cents habitants des environs auraient signé une pétition pour réclamer la libération des compagnons suite à leur arrestation, sans succès pour autant. La Commune, œuvre de militants de terrain, ne fut pas assez grande pour être évoquée par plus d’une poignée d’écrits. Lorsque Reclus et Grave, s’essayant à décrire « l’idéal anarchique » ou « la société future » [11], butent sur le fait de devoir en fournir un exemple, c’est l’expérience montreuilloise qu’ils citent. Malgré sa courte existence, n’a-t-elle pas en cela atteint l’objectif qu’elle s’était fixé, d’avoir laissé entrevoir à quelques compagnons ce que pourrait être la société de demain ? Seul vestige laissé à la postérité : La Clairière, une pièce de 1900 de Maurice Donnay et Lucien Descaves, décrivant la vie et la mort d’une petite colonie libertaire. La Commune de Montreuil en donna à Descaves, selon ses propres dires, « le cadre, le décor et le scénario » [12], mais aussi les personnages, inspirés du groupe des communiers qu’il rencontra en 1899 ; « ardent et réfléchi, homme de pensée et d’action » [13], Méreaux se reconnaît dans Rouffieu, le principal protagoniste.
La pièce donne en 1903 son surnom à la Clairière de Vaux, milieu libre soutenu entre autres par Reclus, Donnay et Descaves. À Vaux, il semble qu’on ignora que le nom était lié à une petite commune suburbaine, une décennie plus tôt… dont les ambitions furent éminemment plus politiques.
Elie Oriol, musée de l’Histoire vivante, Montreuil
[1] Jean Grave, Le mouvement libertaire sous la IIIe République, 1930
[2] Dr Durand, « L’ébéniste Méreaux et les “Soirées ouvrières” de Montreuil », Bulletin de la Société des amis du vieux Montreuil, no 6, juillet 1939
[3] Charles Malato,De la Commune à l’anarchie, 1894
[4] Charles Malato, « Mémoires d’un libertaire - De Paris à Paris par Londres », Le Peuple, 4 janvier 1938
[5] La Révolte, no 14, 17 décembre 1892
[6] La Révolte, no 11, 26 novembre 1892
[7] La Révolte, no 9, 12 novembre 1892
[8] Pierre Kropotkine, La conquête du pain, 1892
[9] Lettre de Lucien Guérineau à Max Nettlau en date du 1er janvier 1928, International Institute of Social History, Nettlau papers, ARCH01001.2839
[10] Ibid.] et exprime seulement sa crainte que le pouvoir, voyant s’étendre la Commune, lance contre elle son arsenal répressif. Le temps lui donne raison. Fin 1893, la terreur anarchiste inquiète. Les attentats se multiplient, et lorsque la bombe d’Auguste Vaillant explose à l’Assemblée nationale le 9 décembre 1893, la réponse immédiate fut le vote des « lois scélérates » quelques jours plus tard. Dès le 1er janvier 1894, des centaines d’anarchistes sont arrêtés dont les communiers qui sont emprisonnés plusieurs mois sans jugement. La Commune anarchiste de Montreuil s’arrête ainsi. Toutefois, l’aventure de Méreaux et de ses compagnons se poursuit. Dès 1895, ils se rassemblent à nouveau pour former un groupe d’enseignement mutuel qui devient par la suite les Soirées ouvrières de Montreuil, doyenne du mouvement des Universités populaires.
Une pièce de théâtre et puis après ?
La Commune eut une influence locale. Selon Daniel Halévy, « la propagande était continuelle et simple, les voisins amenaient les voisins et les choses allaient à souhait »[[Daniel Halévy, Essais sur le mouvement ouvrier en France, 1901
[11] Élisée Reclus, L’évolution, la révolution et l’idéal anarchique, 1902 ; Jean Grave,La société future, 1895
[12] André Gaucher, « Nos interviews – Chez les auteurs de La Clairière », La Presse, 13 avril 1900
[13] Lucien Descaves, « Le Congrès des U.P. », Le Journal, 22 mai 1904
TROM II: The pointlessness of politics
videos.trom.tf/w/pscRtAv48ZbKb…
Politicians chew the same gum for centuries now. They speak, but say nothing.
#politics #capitalism #trade #lies #biden #trump #democrats #democracy
TROM II: The pointless of politics
Watch the entire documentary here - tromsite.com/documentaries/tro…Politicians chew the same gum for centuries now. They speak, but say nothing.
unioncommunistelibertaire.org/…
Jérusalem : Le quartier arménien, l’oublié de la colonisation Israélienne
Alors qu’Israël continue son entreprise de génocide à Gaza et à étendre ses colonies en Cisjordanie, le sort du quartier arménien de Jérusalem est resté discret dans les médias. S’il faut se concentrer sur l’horreur subie par les Gazaoui·es et sur un cessez le feu immédiat, ces événements mélangeant capitalisme, corruption et colonialisme sioniste démontrent que ce dernier s’étend aussi aux autres communautés.
Le quartier arménien est le cœur de la présence arménienne à Jérusalem depuis 1600 ans malgré une population de seulement quelques milliers de personnes. Ce chiffre est d’ailleurs en baisse depuis quelques années suite à l’augmentation des loyers, à l’installation de colons juifs et à l’interdiction par Israël d’y construire de nouveaux bâtiments.
En 2021, un prêtre arménien a conclu un accord, au nom du Patriarcat de l’Église arménienne, avec un promoteur immobilier d’origine juive pour céder près de 25% du quartier arménien pour un montant en dessous de sa valeur et y construire un complexe hôtelier de luxe. Les termes de l’accord n’ont pas été entièrement communiqués à la population locale, dont l’essentiel vit dans des propriétés appartenant à l’Église. Jusqu’en 2023, année où la vérité éclate. Des maisons habitées mais aussi une partie du Séminaire seraient concernées, mettant en danger la présence historique arménienne dans la ville. Au vu des termes extrêmement favorables pour le promoteur, de forts soupçons de corruption existent, au point que le prêtre signataire a dû être exfiltré aux États-Unis suite aux protestations des habitantes et habitants du quartier. Le Patriarcat a annoncé avoir été trompé par ce prêtre et a dénoncé l’accord, souhaitant l’annuler. Des procédures judiciaires sont toujours en cours.
Profitant de l’attention portée au début de l’offensive israélienne sur Gaza fin 2023, le promoteur a procédé à diverses intimidations pour déloger les Arméniens et Arméniennes, faisant appel à des colons de Cisjordanie Israéliens venus avec bulldozers, chiens et armes pour intimider la population. Des affrontements violents ont eu lieu et des bulldozers ont déjà commencé à détruire une partie des terrains. La communauté arménienne s’est cependant mobilisée, avec notamment des barricades et une surveillance constante afin d’éviter d’autres incursions. Ce qui n’a pas empêché de nouveaux affrontements en décembre 2023.
Une situation qui rappelle le Haut-Karabagh
Si l’intention initiale du promoteur visait plutôt l’exploitation de terrains fonciers de grande valeur, elle est à mettre en contexte avec l’appel par de nombreux colons à « judéiser » Jérusalem. La jonction du capitalisme et du colonialisme s’est donc faite autour d’un objectif commun : chasser les personnes d’origine arménienne et les autres non-juifs de Jérusalem malgré leur implantation ancienne, comme lorsqu’un patriarche Grec a cédé des terrains à des groupes sionistes d’extrême droite en 2005.
Tandis que les Arméniennes et Arméniens du Haut-Karabagh ont été chassé·es de leurs terres ancestrales par l’Azerbaïdjan en 2023 avec le soutien militaire de l’État d’Israël, celles et ceux qui vivent à Jérusalem ont peur de subir un sort similaire. Il faut donc demander l’annulation de cet accord immobilier qui porte le sceau de la corruption, rétablir la pleine possession de leur quartier aux personnes qui y habitent et assurer la fin de la colonisation sioniste à Jérusalem et en Palestine.
Antonin (UCL Marseille)
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Hey people,
We have changed the way we deal with the 200 FOR TROM campaign in terms of donations. Let me explain.
Ideally we wanted to have a simple donation campaign where people can only contribute 5 Euros a month - no more, no less. However pretty much no Wordpress plugin is designed for this, since they are all geared towards selling products or creating campaigns where people can donate any amount. But I wanted to try something new by limiting the amount of money that people can donate monthly. I want to distribute the burden we put on individuals, but also to limit the growth of TROM, as a project, to a manageable "height".
The plugin we were using was not reliable at all and I even had to pay for it (which is ironic since we do not get enough financial support from the campaign itself). Because it is important to accept a wide variety of payment options, and "cards plus Paypal" are the most used worldwide, this plugin tried to combine Stripe (cards) with Paypal into one single campaign. But the plugin stopped working with Paypal and then could not communicate with Stripe anymore, so when a donation was canceled the plugin had no idea.
In short, we could not count how many people are still actively subscribed to the campaign via this plugin, so I ended up having to check in TROM's Stripe and Paypal accounts to see how many are subscribed...and then manually add that number to our donation page. On top of that I cannot pay for the plugin's subscription and therefore I cannot receive updates - and having an outdated plugin that deals with payments is not a good idea.
OK.
These being said it is time to give up on this plugin and rely directly on Stripe and Paypal. If anyone wants to support us they will be redirected to any of these websites where they can complete the payment and manage their subscriptions via them. It is the safest, easiest, and direct way of doing this. If the Stripe integration with Paypal will be enabled in the following days then perhaps we will only use Stripe which can process pretty much any kind of payment, including Paypal.
I hate dealing with these things, trust me.
What will happen to your current subscription?
If you want to cancel it, please contact us or reply to this email. If you want to change the payment method then it is better to ask us to cancel your subscription and then you can do it again. After that you can manage it via Stripe/Paypal. It is simple.
What about the wall of donors?
I would really love to have a "wall of donors", a list of people who are actively supporting this campaign...maybe this is a nice way of thanking them publicly. But right now I do not know how to do that since we use both Stripe and Paypal, and some people do not want their names to be displayed publicly. If Stripe enables Paypal as a payment option then maybe I can do something about this. Sorry! But also...this is not a fashion show and we all understand that. We need some financial support to maintain our projects that are about serious global problems and ways to think differently about "fixing" them. TROM is not a project that tries to blend into this system and find financial support to be "sustainable" in that sense - it is a way to scream and harness the anger towards something positive/educational/informative and helpful. And for that we simply need some financial help.
Lastly.
A big thank you to Marcel who became the 80st donor for our campaign while I was writing this message. And I appreciate all of you very much! We are almost half way there, and that gives me some hope. We have a lot of plans for TROM, so let's see how things will evolve. We will keep you posted.
Ok, that's all. Thank you!
newsletter.tromsite.com/archiv…
NEW BLOG POST:Home
Read it on my website (recommended):
Or read it here:
Monkeypox virus: dangerous strain gains ability to spread through sex, new data suggest
A cluster of mpox cases in the Democratic Republic of the Congo sparks worries of a wider outbreak.Kozlov, Max
unioncommunistelibertaire.org/…
Face à la répression politique, défendons la liberté d’expression du mouvement social !
Les députés LFI Danièle Obono et Mathilde Panot, le militant trotskiste Anasse Kazib, la journaliste Sihame Assbague, la militante franco-palestinienne Rima Hassan, le syndicat Solidaires-Etudiant·es EHESS, le syndicaliste CGT Jean-Paul Delescaut... Ces dernières semaines, de plus en plus de militantes et de militants solidaires de la cause palestinienne ont été attaqués pour « apologie du terrorisme ». On a tenté de les salir, de les bâillonner, et avec elles et eux c’est l’ensemble du mouvement anticolonialiste qui est attaqué.
Ce jeudi 18 avril devait se tenir à l’université de Lille une conférence organisée par La France insoumise et l’association Libre Palestine, animé par Jean-Luc Mélenchon et la militante palestinienne Rima Hassan. Un arc d’alliance rassemblant des élus du PS à l’extrême droite s’est mobilisé pour faire annuler la rencontre : critique contre le logo de Libre Palestine, amalgame entre antisionisme et antisémitisme, refus de la possibilité de tenir des débats politiques à l’Université…
L’administration universitaire a fini par annuler l’événement. Dans la foulée, le préfet a interdit à Jean-Luc Mélenchon d’organiser un meeting dehors pour protester contre cette annulation. Le même jour, le secrétaire de la CGT du Nord, Jean-Paul Delescaut, était condamné à un an d’emprisonnement avec sursis pour « apologie du terrorisme ». Son crime ? Un tract de la CGT 59 après l’offensive palestinienne du 7 octobre 2023, dans lequel elle analysait celle-ci comme une réponse à la politique de colonisation israélienne.
Défendre la cause palestinienne est légitime
Nous condamnons sans équivoque toute dérive antisémite qui se produit au nom de la cause palestinienne. Mais la solidarité avec un peuple victime de la colonisation est légitime. Lutter pour la Palestine, c’est lutter contre notre propre impérialisme, au vu de notre responsabilité dans l’instabilité de la région, des accords Sikes-Picot à l’expédition de Suez. Une solidarité de principe qui n’est en rien un soutien aveugle et inconditionnel ni aux politiques ni aux choix militaires des organisations palestiniennes.
Tandis que la politique du gouvernement et de l’armée israélienne est qualifiée de « génocide » jusqu’à l’ONU et que des milices de colons israéliens ont assassinés plusieurs centaines de personnes en Cisjordanie ces derniers mois, la pression en France est toujours plus forte contre toutes celles et ceux qui se solidarisent avec le peuple palestinien et affirment son droit légitime à la résistance. Droit qui ne saurait justifier des crimes de guerre. Parmi les armes idéologiques utilisées massivement par les défenseurs en France du gouvernement fasciste de Nétanyahou, on trouve l’assimilation de toute tentative d’explication de la violence à un soutien idéologique au Hamas. Ou encore l’affirmation que toute critique contre l’État d’Israël relève de l’antisémitisme.
Cette complicité entre Macron et Nétanyahou ne peut que faire monter l’antisémitisme dans notre pays d’où il n’a hélas jamais disparu, tandis que les discriminations racistes ne sont pas considérées de la même manière par l’Etat et que les musulmans sont devenus les boucs-émissaires de tous les maux de ce pays.
Le durcissement autoritaire de l’Etat français s’aggrave. D’un côté la répression policière violente contre les manifestations. De l’autre la disqualification de toute voix dissidente, englobée dans le fourre tout du « terrorisme ». Un dangereux recul démocratique visant pêle-mêle les militants écologistes, syndicalistes, internationalistes.
L’UCL apporte tout son soutien aux militantes et militants politiques, syndicaux, associatifs poursuivis, et réclame l’arrêt des agressions politiques, médiatiques et juridiques contre l’ensemble des acteurs du mouvement de solidarité avec le peuple palestinien.
Union communiste libertaire, le 20 avril 2024.
Merci à #FabricePicard pour cette mise en avant de l'#UnionCommunisteLibertaire après une belle série lors de la formation #VigilanceEtInitiativesAntifascistes à Brest. Lisez ce très bon article de #PierrePlottu et construisez les #ContrePouvoirs antifascistes !
#UCLantifa
liberation.fr/politique/la-soc…
La société civile contre l’extrême droite : «Ce n’est pas parce qu’on n’a pas essayé la mort-aux-rats qu’il faut en boire»
Alors que l’acceptation ou la résignation vis-à-vis du lepénisme gagne du terrain, une partie de la société continue à refuser le fatalisme et à se mobiliser contre l’extrême droite.Maxime Macé (Libération)
unioncommunistelibertaire.org/…
Secteurs féminisés : Luttes et victoires des femmes au travail
Retour sur une réunion publique organisée par l’UCL Grenoble le 2 mars dernier sur le thème « luttes et victoires des femmes au travail » qui comportait une table ronde avec des femmes syndicalistes venues nous parler de leurs luttes.
Le 6 mars 2023, nous avions tenu une réunion publique sous forme de conférence pour présenter la brochure « Les enjeux de la syndicalisation des secteurs féminisés ». Nous avions fait le choix de raconter plusieurs histoires de luttes victorieuses de femmes comme, entre autres, celles des Penn Sardin en 1924, ou plus récemment des ouvrières du pays Basque en 2021. En plein combat pour les retraites, les retours du public traduisaient la foi en la grève féministe et l’espoir dans le 8 mars. C’est sur cet enthousiasme insufflé par les récits de lutte d’hier et d’aujourd’hui que nous avons misé cette année.
S’inspirer de deux expériences locales et faire du lien
Deux syndicalistes CGT étaient invitées à la table ronde. L’une est aide à domicile à ADF38, la seconde ingénieure à STMicroelectronics (ST). Chez les aides à domicile d’ADF38, exemple-type de secteur féminisé, il y a 4 hommes (dont le directeur) pour 200 salariées. La camarade a relevé les injustices de la convention collective de cette branche. Parmi leurs revendications : la prise en compte des kilomètres entre domicile et travail et des heures de traval dissimulées, un meilleur plan de formation, des locaux, du matériel, des chèques restaurant, la suppression des trois jours de carence, l’augmentation des salaires et enfin la réduction du temps de travail à 32 heures payées 35 heures. La camarade de STMicroelectronics nous a raconté l’action en justice victorieuse qui a conduit à épingler le géant de l’industrie grenobloise pour discrimination de genre et en raison de la grossesse en 2023. Les défis actuels des militantes de ST sont la facilitation des temps partiels des ouvrières et la lutte contre les écarts de carrière : en fin de carrière, l’écart salarial entre hommes et femmes est encore de 20%.
Outre la hiérarchie genrée et l’inertie imposée par la présence de syndicats réformistes, les deux contextes sont différents. Si les salariées d’ADF38 – de fait, exclusivement entre femmes – identifient sans problème l’injustice qu’elles subissent, les ingénieures de ST, lorsqu’elles parviennent à prendre conscience qu’elles ne sont pas épargnées par le sexisme, doivent encore batailler avec leurs collègues et camarades hommes. La discussion sur les modes d’action a abordé la syndicalisation. La réforme des retraites a permis à la CGT d’ADF38 de recruter. L’ancrage territorial via l’Union locale de Fontaine a fourni aux travailleuses le point d’appui matériel qui leur manquait : un espace pour parler et s’organiser. Chez ST, l’afflux de jeunes recrues fortement féminisées, étrangères et racisées met le syndicat face à son image historique et à la responsabilité qui est désormais la sienne : s’adresser à ces nouvelles camarades et les joindre à la lutte.
Adapter les modes d’action aux contraintes des métiers
Dans les secteurs féminisés, la grève demeure un outil essentiel, mais à améliorer : « les salariées veulent, mais beaucoup ne peuvent pas », souligne la camarade aide à domicile. La coordination avec les familles des usager·es leur permet actuellement de dégager du temps militant, à condition d’avoir un lien de confiance. Les salariées réfléchissent alors à de nouveaux modes d’action : mini-blocages stratégiques en se rendant toutes au même moment à l’unique micro-ondes ou aux deux seuls ordinateurs, grève des bilans attendus à échéance régulière par le département...
Cette réunion publique s’inscrit dans un contexte local où les secteurs féminisés sont au premier plan des luttes. Fin février, les salariées d’Elior-Derichebourg (société de nettoyage privée en charge des locaux de l’administration de l’État en région grenobloise) se sont mises en grève suite à l’annonce, sans concertation, de la mutation forcée de treize salariées d’une semaine à l’autre. Ces travailleuses déconsidérées, mal payées, souffrant parfois de problèmes de santé, seraient envoyées travailler en CHU ou en EHPAD sans formation adéquate.
Leur lutte s’est vite reliée au cas de l’Institut d’études politique de Grenoble, dont le nettoyage est en voie d’externalisation. Personnels et étudiant·es sont actuellement mobilisé·es pour empêcher ce projet, car la privatisation du ménage contribue à la casse du service public et à la corvéabilité accrue des employé·es dont Elior-Derichebourg est le résultat flagrant. Ce 8 mars, Rachel Kéké – figure emblématique de la lutte victorieuse des femmes de ménage de l’Ibis Batignolles devenue députée LFI – est venue médiatiser, s’entretenir et défiler avec les employées de ménage grévistes aux couleurs de la CGT.
En parallèle, l’UD CGT de l’Isère a organisé une conférence-débat sur les intersections entre la loi raciste « Immigration » et les secteurs féminisés. L’UD a travaillé sérieusement sur le mot d’ordre de la grève féministe, si bien que le cortège CGT du 8 mars à Grenoble était d’une visibilité inédite. L’UCL Grenoble continue d’encourager l’essor de ces lignes féministes et antiracistes au sein de la CGT iséroise.
Billie et Artémis (UCL Grenoble)
Syndicalisons les secteurs féminisés !
Aides à domiciles, ouvrières de nettoyage, infirmières, assistantes d’éducation (AED), caissières, accompagnantes d’élèves en situation de handicap (AESH), ect. Nos métiers sont indispensables au fonctionnement du système capitaliste, ce qui nous donne une force : si on s’arrête, le monde s’arrête ! S’organiser collectivement pour de meilleures conditions de travail apparaît donc nécessaire, via des syndicats de lutte, de masse, et autogestionnaires. Beaucoup de travail reste à faire pour créer ces syndicats, les pérenniser, les massifier et les mettre en lien.
Notre campagne pour la syndicalisation des secteurs féminisés porte différents objectifs : convaincre de la pertinence de l’afficher comme une priorité politique, mais aussi mettre en lien des syndicalistes d’une même localité, car nous pensons que les liens tissés entre les luttes et les personnes nous permettent d’augmenter nos forces. À Fougères, Rennes, Grenoble, Lyon…
Nombreux sont les groupes locaux qui ont organisé des événements autour de la brochure, nombreuses sont les discussions qui ont déjà été menées sur le sujet. Nous espérons qu’elles pourront insuffler de nouvelles déterminations et participer au renforcement de la lutte syndicale féministe au sein de ces secteurs.
Jacob Urlich 🌍
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